Lockout à l’UQTR : il faut sortir de l’impasse
En décrétant un lockout envers ses quelque 440 professeurs, l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a mis en péril la bonne marche de son établissement ainsi que la paix d’esprit sur son campus. La FPPU a publié un communiqué pour exprimer son désaccord quant à la méthode brutale choisie pour forcer le processus de négociation. Sans s’immiscer dans les pourparlers en cours, elle encourage la direction à revenir à des moyens plus démocratiques de résolution du conflit. « Le lockout n’est pas une méthode admise dans la culture universitaire, et il n’est surtout pas porteur d’avenir », formule Bernard Gaucher, président de la FPPU.